années d'expérience de l'achat à réméré
1
opérations de réméré réalisées
1
de réussites
depuis 2014
1 %

Vos propres maisons. Nos bonnes raisons

“Nous sommes ce que nous faisons…
depuis 17 ans !”

Un groupe familial... et expérimenté dans l'achat à réméré

Développée par étapes depuis 2004, notre expérience dans l’achat à réméré (comme acheteurs finaux, nous ne sommes pas intermédiaires), notre connaissance de son financement et de son droit, s’est éprouvée au fil des années et a permis à notre groupe familial de rendre ce service déjà à plus de 120 foyers en difficulté

Notre vision s’est clarifiée, nos convictions consolidées : inutile pour nous d’acheter un bien si au départ, nous ne pouvons pas croire au rachat ; ainsi depuis 2014, tous nos vendeurs ont pu racheter.

Des choix responsables, gages de réussite

Nous ne prenons donc pas l’achat à réméré à la légère… Pour le vendeur comme pour nous, l’objectif de cette opération immobilière d’exception est le rachat – et non une revente. Toutes les précautions doivent être prises pour réussir. Certes nous sommes conscients de l’attrait du “réméré“ pour un vendeur, surtout s’il n’a plus du tout accès au crédit bancaire. Mais pour lui, ça n’est la solution ultime … qu’à condition d’être véritable. Pour votre maison, il faut garder raison ! 

Nos réussites sont d'abord celles de nos vendeurs

Pour nous, depuis 17 ans, le but est et reste d’aboutir au rachat, de satisfaire l’intention déclarée du vendeur. Or le réméré exige des fonds importants dans l’immobilier — ce qui, certes, est courant dans ce secteur — mais pour des délais de court terme — ce qui l’est beaucoup moins. Un défaut de rachat, si rare chez nous, manquerait l’objectif du vendeur, forcerait l’acheteur devenu irrévocablement propriétaire, à revendre le bien et immobiliserait, contre son gré et pour un temps imprévu, des capitaux attendus par d’autres éligibles au réméré.  

Notre conviction : un rachat rapide profite au vendeur

Le réméré, avec son financement et son droit, correspond à une opération qui n’est ni légère ni gratuite : elle se doit, d’autant, d’être efficace. Et rapide.

Nous trouvons inutile, coûteux pour le vendeur et parfois malsain de faire traîner des années la détention d’un bien vendu à réméré – jusqu’au maximum de 5 ans : ce délai date des Croisades (apparemment de Saint-Louis) ! Et le Code Civil l’a repris (art. 1660) en 1804 alors que les banques de l’époque n’avaient pas les moyens actuels pour monter un crédit en quelques semaines

L’intérêt du vendeur – psychologique, financier, à tous égards – est de racheter rapidement — en quelques mois. Notre solution réméré le privilégie. Si sa vente à réméré a été préparée correctement, sur la base de son endettement total et de la valeur réelle de sa résidence, il peut, dès qu’il est désendetté, équilibrer ses comptes bancaires et rechercher dans la foulée un crédit pour le rachat.

4 mois ! Tel est le « record de vitesse » de rachat chez nous : au lendemain de la vente, le solde du compte bancaire du vendeur redevenait positif. Les trois mois suivants, il versait les relevés bancaires mensuels à son dossier d’emprunt pour la banque avertie de l’opération. Juste après le troisième mois, elle lui proposait un prêt : il a racheté dans les semaines suivantes. Un bel exemple dont nous sommes ravis. 

Plus classiquement, ces dernières années, plusieurs de “nos vendeurs à réméré“ ont racheté en 6 mois et même en 5 mois comme l’un d’eux en 2018.

Plus vite l’opération est finie, moins elle coûte au vendeur. En effet, les mensualités de l’emprunt qui permettra le rachat de la maison, seront sans doute plus faibles que celles payées durant le réméré – qui déjà elles-mêmes auront été moindres que celles de l’endettement qui l’a nécessité.

Un de nos objectifs : réduire les charges financières mensuelles en trois temps – avantpendant et après l'opération de réméré
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AVANT

Avec le poids initial en surcharge des mensualités d’endettement – issu parfois de crédits “conso” lourds d’intérêts élevés et croissants !

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PENDANT

Avec le poids déjà allégé des mensualités de réméré, une décharge visant dès le début à réparer votre situation présente et à préparer l’avenir.

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APRÈS

Avec le poids équilibré des mensualités d’emprunt, stabilisé au niveau modéré des taux d’intérêt du crédit immobilier. 

A noter que cette réduction progressive des mensualités est un atout pour obtenir un prêt immobilier ! Le vendeur demandant un prêt pour racheter prouve ainsi à la banque sollicitée qu’il est capable de tenir ses engagements et de rembourser chaque mois plus qu’elle ne le lui demandera. 

A votre écoute !

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        Le droit de réméré, une si longue histoire

        Le réméré peut être méconnu ou méprisé par des esprits chagrins, : non seulement le Code Civil publié en 1804 l’encadre depuis Napoléon mais le Moyen-Âge l’a pratiqué notamment au retour des croisades avec Saint-Louis. Et le droit romain, ancêtre de notre droit civil, né il y a plus de 2 400 ans, l’utilisait déjà !

        Le Code Civil a intégré les règles et coutumes des siècles antérieurs sans figer ce droit pour autant : la jurisprudence a traité la faculté de réméré que se réserve le vendeur, en tant que condition suspensive au 19ème siècle puis condition résolutoire au 20ème – là où le droit romain ignorant cette distinction de principe, laissait les contrats en convenir.

        La vente à réméré opère bien un transfert de propriété au premier jour — sauf que le vendeur peut la résoudre. Le rachat n’est pas une seconde mutation mais une résolution qui anéantit la vente initiale et remet vendeur et acheteur dans leur situation d’avant la vente.

        Depuis 2009, “rachat” a remplacé “réméré” dans le Code civil. Mais parler de “réméré” aide à identifier le contexte de cette pratique. 

        Fondé sur un droit de si longue tradition, le réméré ne relève en rien du droit bancaire, codifié récemment et d’application sectorielle.

        Pourquoi une convention d'occupation précaire avec le réméré ?

        La convention d’occupation précaire remplace le bail pour valider la situation de l’ex-propriétaire qui devient simple occupant du bien pendant la période de vigueur de sa faculté de rachat. Ni le vendeur ni l’acheteur — que seul le projet de réméré a réunis et motivés — n’entendent s’engager dans la durée par un bail.

        Le notaire intègre cette convention à l’acte qu’il rédige pour la vente — dont l’occupation précaire est un effet ; son terme dépend du vendeur, du résultat de sa recherche de financement pour le rachat ainsi que du respect de ses obligations contractuelles.

        Le terme de la période intervient normalement quand le vendeur résoud (= annule) la vente, ce qui interrompt du même fait la convention d’occupation désormais sans objet.

        Vente à réméré ou vente avec faculté de rachat ?

        Les expressions “vente à réméré” ou “vente avec faculté de rachat” signifient en fait exactement la même chose. Dans un esprit de modernisation du langage juridique, une loi du 12 mai 2009 a remplacé le mot réméré par le mot rachat dans les textes officiels.

        Mais on continue de parler couramment de réméré pour singulariser le contexte juridique et économique où ce type de rachat intervient.

        Quelle que soit l’expression utilisée, il s’agit de la vente d’un bien immobilier (ou mobilier) contenant une clause qui permet au vendeur de le racheter dans un délai indiqué au contrat (mais sans dépasser le plafond de 5 ans fixé par la loi), 

        Le vendeur exerce effectivement sa faculté de réméré pour racheter une fois qu’il a réuni et versé les fonds nécessaires au notaire pour rembourser à l’acheteur le prix et les frais liés à la vente annulée.

        Le vendeur décide donc seul du rachat, mais au prix convenu avec l’acheteur lors de la vente, en général quelques mois après.

        Cette forme de vente relève des articles 1659 à 1673 du Code Civil.

        Pourquoi une indemnité d'occupation ?

        Son nom l’indique, l’indemnité d’occupation (parfois abrégée “IO”) est celle que le vendeur à réméré règle à l’acheteur pour :

        – pouvoir continuer d’occuper sa maison alors qu’il vient de la lui vendre (temporairement),

        – indemniser l’acheteur qui, bien que nouveau propriétaire, lui laisse la jouissance des lieux pour la période de vigueur du réméré. 

        L’IO versée est la contrepartie de l’occupation, une sorte de “loyer” dû de mois en mois — depuis la vente jusqu’au jour du rachat. 

        Même si, en attendant de racheter votre logement et d’en être à nouveau propriétaire, vous résidez sur place et payez l’IO comme un locataire son loyer, vous n’êtes pas en location dans le cadre d’un bail —voir convention d’occupation précaire).

        L’IO joue un rôle crucial dans l’équilibre de l’opération de réméré. En effet son règlement ponctuel à l’acheteur (à nous, si nous faisons l’opération ensemble), au début de chaque mois, est une obligation majeure conditionnant la sauvegarde de la faculté de réméré et favorisant le retour au crédit du vendeur.